Alors que certains candidats se heurtent à des obstacles majeurs les empêchant de passer leurs examens : un accident grave ou un accouchement, autres problèmes de santé pendant la période des épreuves , le ministère de l’Enseignement pré-universitaire et de l’Alphabétisation a mis en place une nouvelle initiative pour leur offrir une seconde chance. Cette mesure, qui entre en vigueur dès cette année, prévoit une session de rattrapage en septembre pour les candidats concernés.
Cette année, une session de rattrapage est prévue en septembre pour les candidats empêchés de passer les examens nationaux pour des raisons de santé, d’accident ou d’accouchement. Jean Patrick Clair N’Diaye, directeur adjoint chargé des examens, l’a précisé hier en conférence de presse. Cette mesure vise à éviter que ces élèves ne prennent de risques ou ne ratent leur année scolaire involontairement.
On se souvient notamment du cas de 2024, la candidate, Hadja Marliatou Diallo, avait accouché par césarienne après avoir passé les deux premières épreuves. Malgré les risques, elle était retournée au centre le lendemain pour continuer l’examen.
Ces sessions de rattrapage seront désormais organisées en septembre pour tous les candidats confrontés à des situations exceptionnelles.
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